Navin Khelmani

Le Fonds monétaire international a encore réduit hier ses prévisions de croissance pour l'Afrique subsaharienne. Cet ajustement accroît la pression sur les gouvernements qui révisent déjà à la hausse leurs besoins de financement avant le prochain cycle d'émission de dette. Le nouveau message, signé par Abebe Selassie, directeur du FMI pour l'Afrique, prévoit une croissance de 3,8 1GDP3T en 2025, soit quatre dixièmes de point de pourcentage de moins que ce qui était prévu en octobre 2024. A première vue, il s'agit d'une eau froide, mais le chiffre prend une autre couleur lorsqu'on le compare aux 2,8 1GDP3T que le FMI attribue à...

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