Fermer le menu
Bienvenue en AfriqueBienvenue en Afrique
  • ACCUEIL
  • RESSOURCES
    • Aides et subventions
    • Possibilités d'emploi
    • Cours
  • QUI SOMMES-NOUS ?
    • A propos de nous
    • Partenaires
    • Nos rêves
    • Contact
  • OPINION
  • NOUVELLES
    • Salle de presse
    • Les médias
    • Analyse
    • Culture
    • Entreprises
  • LES 54...
  • Español ES
    • Français FR
    • English (UK) EN
Facebook X (Twitter) Instagram YouTube
LES DERNIÈRES
  • Puerto de la Cruz accueille le festival de cinéma réalité Miradas Afroindígenas
  • L'Espagne renforce son engagement envers les femmes de Nador
  • La Mauritanie s'engage dans l'innovation technologique aux côtés de la Tunisie
  • «La chanson »Kun Fe Ko" d'Oumou Sangaré redevient un phénomène viral au Nigéria
  • Aba Diop élève le sabar sénégalais au rang de langage jazz universel
  • Le Sénégal redéfinit sa stratégie fiscale pour stimuler l'investissement et la production locale
  • Un livre met en lumière la science dans les langues africaines
  • Un ingénieur kenyan révolutionne l'accessibilité avec des avatars en 3D pour la langue des signes
  • Avis juridique
  • Politique de confidentialité
LinkedIn Instagram Facebook YouTube
Bienvenue en AfriqueBienvenue en Afrique
Samedi 1er novembre
  • ACCUEIL
  • RESSOURCES
    • Aides et subventions
    • Possibilités d'emploi
    • Cours
  • QUI SOMMES-NOUS ?
    • A propos de nous
    • Nos rêves
    • Partenaires
    • Contact
  • OPINION
  • NOUVELLES
    • Salle de presse
    • Les médias
    • Analyse
    • Culture
    • Entreprises
  • LES 54...
  • Français FR
    • English (UK) EN
    • Español ES
Bienvenue en AfriqueBienvenue en Afrique
Page d'accueil " Actualités " Chronique africaine : "La symphonie de Kinshasa".

Chronique africaine : "La symphonie de Kinshasa".

Carmen del Puerto 09/10/2025
Facebook Twitter LinkedIn Courriel

0:00

Dans un continent qui se nourrit de la faim et lutte contre la guerre. Dans un pays qui dispose d'un fleuve littéraire dans lequel il est possible de plonger le cœur des ténèbres. Dans la capitale de la République démocratique du Congo, dans l'ancien Zaïre de Mobutu ou dans l'ancien Congo belge. Dans ses rues poussiéreuses et chaotiques, dans ses bidonvilles insalubres et misérables... Là, où les coups d'État sont plus nombreux que les coups de matraque, un peuple imbattable répète un répertoire de Mozart ou de Beethoven, arrange le boléro de Ravel - lui seul l'ose - et construit ses propres contrebasses en vidant de sa substance la seule qu'il possède. Là-bas, où les coupures de courant sont monnaie courante, les musiciens continuent de jouer dans le noir - même si le Titanic coule - et les violonistes réparent eux-mêmes les pannes électriques sur place. Là, où l'on ne parle que le lingala et le français colonial, la chorale apprend les partitions en allemand obligatoire et subit les philippiques d'un chef d'orchestre qui avoue ne pas avoir étudié la musique. Je parle des 200 membres de la Kinshasha Symphony, un merveilleux orchestre né de rien, un bel hymne à la joie et le titre d'un splendide documentaire à la fin tout simplement apothéose.

Affiche du documentaire congolais “Kinshasa Symphony” (de Martin Baer et Claus Wischmann, 2010). Source : http://www.kinshasa-symphony.com/
Affiche du documentaire congolais “Kinshasa Symphony” (de Martin Baer et Claus Wischmann, 2010). Source : http://www.kinshasa-symphony.com/

Documentaire projeté au Elder Museum of Science and Technology à l'occasion du festival WOMAD Las Palmas 2011. Il faisait partie de la série de films africains organisée par Casa África, en collaboration avec l'ONGD Al Tarab et son programme Cinenómada, et composée d'une sélection de films qui ont été projetés lors du magnifique Festival du film africain de Tarifa (FCAT).

Images extraites du documentaire “Kinshasa Symphony” (de Martin Baer et Claus Wischmann, 2010). Source : http://www.kinshasa-symphony.com/
Images extraites du documentaire “Kinshasa Symphony” (de Martin Baer et Claus Wischmann, 2010). Source : http://www.kinshasa-symphony.com/

(Texte publié dans mon livre “La niña de Lambaréné y otras escenas africanas”, 2015).

Article précédentLe Botswana ouvre la porte à la citoyenneté par l'investissement
Article suivant Le MOWAA, épicentre de l'art africain contemporain, ouvre ses portes au Bénin
PR.
  • Facebook
  • Instagram
  • YouTube
  • LinkedIn
DERNIÈRES PUBLICATIONS

Puerto de la Cruz accueille le festival de cinéma réalité Miradas Afroindígenas

30/10/2025

L'Espagne renforce son engagement envers les femmes de Nador

29/10/2025

La Mauritanie s'engage dans l'innovation technologique aux côtés de la Tunisie

29/10/2025

«La chanson »Kun Fe Ko" d'Oumou Sangaré redevient un phénomène viral au Nigéria

29/10/2025

Aba Diop élève le sabar sénégalais au rang de langage jazz universel

29/10/2025

Le Sénégal redéfinit sa stratégie fiscale pour stimuler l'investissement et la production locale

29/10/2025

Un livre met en lumière la science dans les langues africaines

29/10/2025

Un ingénieur kenyan révolutionne l'accessibilité avec des avatars en 3D pour la langue des signes

29/10/2025

Juan Manuel Pardellas

Journaliste

Auteur, entre autres publications et ouvrages, de HÉROES DE ÉBANO, FINCA MACHINDA et IN THIS GREAT SEA.

DANS CETTE GRANDE MER FINCA MACHINDA LES HÉROS DE L'ÉBÈNE
LinkedIn Facebook Instagram YouTube
  • Avis juridique
  • Politique de confidentialité
2025 Bienvenue Afrique : Développement : Web By Canarias.

Tapez ce qui précède et appuyez sur Enter pour effectuer la recherche. Appuyez sur Esc pour annuler.